Occupations temporaires
Actualités et perspectives
- Quoi?colloque
- Quand? 28 janvier 2020, 9h - 17h
- Où?Université Saint-Louis – Bruxelles (Auditoire 1)
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L’occupation temporaire à la croisée des chemins en 2020 Nicolas Bernard (Université Saint-Louis - Bruxelles)
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Des normes spécifiques pour les occupations de logement ? Sophie Grégoire (DIRL)
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Quelles balises de sécurité et de prévention de l’incendie ? Colonel Pierre Menu (SIAMU)
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Quels critères pour des logements innovants ? Vincent Wattier (Réseau brabançon pour le droit au logement)
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Quelles propositions urbanistiques et territoriales ? Emmanuelle Jouniaux (Urban Brussels) et Jade Kawan (perspective.brussels)
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L’évolution de la politique régionale de lutte contre le vide Fabien Champigny (Cellule régionale des logements inoccupés)
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La reconnaissance progressive des conventions d’occupation Alexis Deswaef (Quartier des libertés)
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Quelles priorités/préoccupations pour les occupants ? Sean Wanschoor (recherche POTA, FéBUL)
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Le droit de propriété vide versus le droit au logement ? Werner Van Mieghem (RBDH)
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Un observatoire des occupations… Victor Brevière (FéBUL)
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Sécuriser le bâti et dynamiser le quartier, l’expérience du Bempt Pierre Genot (Foyer du Sud)
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Accueillir une mixité de publics Cédric Strebelle (Service prévention, Commune d’Ixelles)
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Se loger et créer des mécanismes d’émancipation sociale Steven Guermeur (Woningen123Logements)
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Le recours à l’occupation dans des biens publics Brigitte Maréchal (Régie foncière de Bruxelles-Ville)
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Vers la systématisation du recours à l’occupation à finalité sociale Véronique Gérard (Agence Occupations Temporaires, FéBUL)
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Le vide avant et après le projet, l’expérience du Gésù Emmanuelle Rabouin (ULM)
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Participer à un appel à projet, l’expérience du tri postal Dimitri Berliner (Communa)
Les occupations temporaires fleurissent à Bruxelles actuellement, encadrées généralement par une convention du même nom. Le concept s’est affranchi depuis longtemps de la figure du squat, au point de devenir progressivement un instrument institutionnel visant à donner une utilisation à un bien inoccupé dans l’attente de sa rénovation ou de sa réaffectation. Or, ces occupations soulèvent un grand nombre de questions tant juridiques (quelles normes respecter ? avec quelle autorisation urbanistique ?), que sociologiques (comment monter un projet et forger un collectif ?), éthiques (faut-il favoriser tous les types d’occupation ?), politiques, etc. De la réponse donnée à ces questions dépend le bon développement du phénomène des occupations temporaires arrivé en 2020 à la croisée des chemins.
Colloque organisé en partenariat avec la Fédération Bruxelloise Unie pour le Logement (FéBUL).